vendredi, décembre 30, 2005

x

English
Malheureusement, très peu de documents démotiques nous étaient parvenus de l'époque Ptolémaïque spécialement des règnes de Ptolémée Ier et Ptolémée II surtout en les comparant avec ceux qui remontent aux Grecs eux-même. Probablement, à cause du fait que les égyptiens n'avaient pas beaucoup de transactions en dehors de leurs communautés. En plus, ils enregistraient très peu de leurs transactions avec les envahisseurs et peut être même elles étaient limitées aux locations et travaux dans les terrains agricoles. Alors que les transactions, qui avaient eu lieu entre les égyptiens eux-même, étaient nombreuses et variées. Des tels documents continuaient à devenir de plus en plus nombreux depuis le règne de Ptolémée III dont le règne a commencé en 246 Av. J.C.

Ptolémée III a commencé à régner l'Egypte durant son apogée et il avait continuait à régner avec puissance et sagesse jusqu'à 221 Av. J.C. Il avait étendu les frontières de l'empire égyptien et avait dirigé ces affaires intérieures aves succés. Il a commencé son règne par l'addition d'un état à son empire. Ensuite, il avait déchaîné la troisième guerre syrienne pour défendre le trône de son neveu. Cette guerre fût terminé après peu de résistance. Il s'était, comme même, emparrer des nouveaux terrains et avait signé un traîté de paix. Ensuite, Ptolémée III était rentré triomphant en Egypte.

vendredi, décembre 16, 2005

viii

English
Les Hautes fonctions de l'Etat étaient monopolisées par les envahisseurs. De cette période, on n'avait jamais eu aucun document indiquant qu'un égyptien était nommé ministre ou même vice-ministre. En plus, toutes les autres basses fonctions étaient exécutées par le reste des égyptiens qui n'étaient pas des paysans. Les clergés eux-mêmes ne vivaient pas tous en confort, parmi eux il y avait ceux qui faisaient des métiers très bas. En bref, Ptolémée II considérait l'Egypte comme sa ferme privée de la quelle il faisait des dons à ce qu'il voulait et il en privait les autres. Il continuait alors cette politique jusqu'à la fin de son règne en Egypte. Tout ce qu'il lui intéressait c'est de ramasser l'argent et prolonger les frontières de son empire.

D'autre part, le petit groupe des envahisseurs menait une vie complètement contradictoire à celle du pauvre paysan égyptien. Au fait, ces envahisseurs qui étaient en majorité des Grecs et des Macédoniens, étaient toujours isolés de la vie des Egyptiens et de leurs sciences, sûrement, à cause de leur ignorance de la langue des Anciens Egyptiens. Ils n'avaient jamais même essayé de l'apprendre parce que d'une part c'était une langue difficile à apprendre et d'autre part, ils croyaient qu'ils n'en avaient pas besoin car ils étaient les maîtres du pays qui contrôlaient tout. Ils essayaient seulement de rester au courant des nouveautés des sciences qui avaient des relations avec leurs pays d'origine. Alors que pour les Egyptiens, ils étaient isolés de tout ce qui se passait dans le monde extérieure.

samedi, décembre 10, 2005

vii

English
Le paysan égyptien n'avait jamais possédé le terrain qu'il cultivait qui était possédé plutôt par Ptolémée. Au fait les Egyptiens n'avaient jamais rien possédé à l'exception du clergé. Même le clergé restait toujours à l'abri puisque le roi ne touchait pas à leurs propriétés. Le roi s'emparait des produits des paysans qui travaillaient très dure et il donnait une partie au clergé soit sous la forme d'érection de temples ou d'offrir des terrains aux divinités en plus des vastes terrains que les Ptolémées avaient exemptés d'impôts pour satisfaire au clergé. Par la suite, il y avait une harmonie entre le Pharaon et le clergé tant qu'il leurs fournissait les offrandes et n'intervenait pas avec leurs propriétés ou leurs indépendance à l'intérieure de temples. De sa part, le clergé rendait, aux yeux du peuple, son image plus belle et plus forte lorsqu'il voulait. Tout était au compte du pauvre paysan qui dépensait tout son énergie et sa vie dans les fermes. Malgré tout ça, le paysan gagnait difficilement sa vie à cause de ces énormes impôts qu'il devait payer. Il devait, également, exécuter des travaux durs pour son maître. On n'avait jamais eu des documents qui nous parlent d'un égyptien qui avait pu atteindre un haut degré ni un degré moyen dans la hiérarchie égyptienne de l'état. Toutes les propriétés de l'état 'étaient manipulées par les étrangers grecs et macédoniens.

samedi, décembre 03, 2005

vi

English
Ptolémée II était le premier à garantir au clergé égyptien ce qu'il voulait. Il ne cessait pas d'ériger des grands temples dans le nord et le sud du pays. De même, il a reconstruit les anciens temples. Donc en établissant ces édifices religieux, il ne différait nulle part des grands pharaons des périodes les plus glorieuses. Tout un chapitre de cet ouvrage sera consacré à ces remarquables édifices religieux qui étaient établis à l'époque de Ptolémée II. Dans ce chapitre, on abordera le sujet de ces nouveaux temples qu'il avait érigés et ceux qu'il avait reconstruit dont le temple d'Isis qui nous a été bien conservé jusqu' aujourd'hui. Ce temple est considéré comme l'un des perles que les Ptolémées nous avaient laissés surtout sur les niveaux de l'architecture, de l'art et de la religion des Anciens Egyptiens dont révèlent les scènes inscrites là-dessus.

Malgré le fait que Ptolémée II avait établi de nombreux temples égyptiens en Egypte ce qui indique la richesse et la prospérité du pays en ce temps là, ce style de vie riche ne l'avait pas vécu que les envahisseurs helléniques et les clergés Egyptiens et Grecs alors que pour le vrai peuple égyptien, la couche des paysans et les ouvriers, ceux-ci travaillaient énormément pas pour eux-mêmes mais pour réaliser les vœux du roi qui ne s'intéressait à rien que de ramasser de l'argent qu'il va dépenser sur les guerres pour l'extension de son empire en dépit des pays voisins ou sur ses propres plaisirs et ceux des hommes qui l'entouraient qui étaient tous des étrangers. On croît donc que les graines de la décadence qui avait eu lieu en Egypte après la bataille de Rafah remontait au temps de Ptolémée II qui avait absorbé l'énergie des Egyptiens.